La série suit les aventures de ce couple improbable alors qu'il se retrouve au Rockville Club, bar fictif de Los Angeles où se produit chaque soir un groupe différent. « La Bill & Melinda Gates Foundation est l'un des partenaires du « Monde Afrique », édition africaine et numérique du Monde », « Le Monde Afrique c’est la partie africaine du site lemonde.fr. Les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme ont été astreints à payer chacun une amende de 1 500 euros, et le directeur de la publication à 1 000 euros d’amende. Aujourd'hui, le quotidien se découpe de la façon suivante : Chaque numéro du Monde propose une contre-enquête qui peut porter sur n'importe quelle rubrique du journal. L'article est rapidement retiré. Le journal soutient la candidature de François Mitterrand à l'élection présidentielle française de 1981[37]. Cette indépendance financière, éditoriale, est aussi politique. Fin 2008, il a cédé pour 3 à 4 millions d'euros la librairie religieuse La Procure, qui était sous le contrôle du groupe des Publications de la Vie catholique depuis 1975[4]. Le groupe Le Monde (précédemment appelé groupe La Vie-Le Monde) est un groupe de presse français qui édite notamment le quotidien Le Monde. Le 14 septembre 2010, Le Monde annonce qu'il porte plainte contre X pour « violation du secret des sources » après que les services secrets français (DCRI) ont été mis à contribution par l'exécutif pour identifier la source d'un journaliste de la rédaction. Certains articles du supplément imprimé hebdomadaire Télévision-Radio-Multimédia sont disponibles gratuitement en ligne Multimédia, rebaptisée ensuite « Nouvelles technologies ». Il est alors remplacé par André Fontaine[41]. Le quotidien fait aussi paraître, chaque année, plus de 30 suppléments ponctuels : Le Monde des vins, Europa (en collaboration avec des titres de presse non français), sur certaines manifestations artistiques (Festival d'Avignon, Biennale de Lyon, etc.). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En octobre 2019, le site internet du quotidien annonce par erreur la mort de Bernard Tapie. Une véritable animosité oppose alors Mitterrand au journal, visant plus particulièrement le journaliste Edwy Plenel[44]. La Fondation Gates accompagne cette création depuis 2015, comme le Fonds français Muskoka. En 1989, en raison de la concurrence de Libération et d'un renouveau du Figaro, la diffusion a reculé de 40 000 exemplaires en dix ans[48]. En juillet 2012, Le Monde diplomatique rapporte les propos d'Eric Fottorino, ancien directeur du Monde : « Le Monde a rejoint la cohorte de ces titres renommés dont le sort est désormais lié au capital et au bon vouloir des capitaines d’industrie ou de finance. Le quotidien Le Monde (284 738 exemplaires en diffusion France payée moyenne 2017[18]) et ses suppléments, mais aussi M, le magazine du Monde ainsi que divers hors-série publiés indépendamment du quotidien. Boutique - Le Progrès. Lors de l'élection de 2002 ils affirment que le journal a mené une campagne active pour Lionel Jospin[60]. Il succède au journal Le Temps qui, victime de l'ordonnance du 30 septembre 1944 sur les titres ayant paru sous l'occupation de la France par l'Allemagne, a vu ses locaux réquisitionnés et son matériel saisi. Le Monde, bénéficiaire de cette confiscation, en reprend le format et la présentation, l’équipe rédactionnelle, les ouvriers et employés ainsi que les anciens locaux situés rue des Italiens, locaux où il restera 44 ans et qui lui valent le surnom de « quotidien de la rue des Italiens ». Le bouclage de la rédaction se fait le matin à 10 h 30, ce qui permet d'intégrer des informations tombées dans la nuit ou au petit matin, contrairement à la plupart de ses confrères qui bouclent dans la nuit. Aide / FAQ; Conditions générales de vente Sous la Ve République, le journal soutient la politique étrangère du général de Gaulle[30], tout en critiquant sa politique intérieure. En 1999, la rédaction du journal « fait le choix de l'intervention » au Kosovo, comme l'admettra Edwy Plenel. » Le journal doit être repris. Il charge son Ministre de l'Information Pierre-Henri Teitgen d'en trouver le directeur, choix difficile car la plupart des hommes de presse de l'époque étaient d'anciens collaborateurs ou déjà à la tête de journaux de la presse clandestine[21]. L'article rapporte notamment une déclaration du milliardaire et propriétaire du Monde Xavier Niel : « Quand les journalistes m’emmerdent je prends une participation dans leur canard et après ils me foutent la paix[170]. Association de citoyens contre la désinformation. Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche[16], bien que cette affirmation soit récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan[17]. Cela jette le trouble dans son lectorat[51]. Plusieurs journalistes du Monde font ainsi l'objet d'écoutes téléphoniques clandestines de la part du pouvoir[45]. Elle était conçue au sein du journal et était distribuée sur les réseaux électroniques grâce à un accord avec CompuServe et Edelweb, une société française spécialisée sur la sécurité en ligne. Bernard Squarcini, directeur de la direction centrale du renseignement intérieur, le reconnaît dans un entretien au Nouvel Observateur : il a ordonné un « éclairage DCRI » sur des fuites provenant du ministère de la Justice au sujet de l'affaire Woerth-Bettencourt, une enquête qui peut être considérée comme une atteinte au secret des sources, protégées par la loi, et donc à la liberté de la presse. Citations et analystes de textes à l'appui, Michel Legris montre aussi comment Le Monde a minimisé et excusé les exactions des Khmers rouges au Cambodge[158]. Pour Éric Fottorino, « le pouvoir tentait de nous asphyxier par la voie industrielle ». Le 10 avril 2019, le média annonce que ce service prendra fin le 5 juin de la même année[201],[202]. Le 25 octobre 2018, Matthieu Pigasse vend 49 % de ses parts de la société Le Nouveau Monde au milliardaire tchèque Daniel Křetínský, déjà propriétaire du groupe de médias Czech Media Invest, de l'hebdomadaire Marianne[123] et d’une partie du pôle magazine du groupe Lagardère (Elle, Télé 7 jours, Ici Paris, France Dimanche... )[124], suscitant la méfiance du« Pôle d’indépendance » du journal qui qualifie l'opération jugée « brutale »[125] et générant des tensions avec Xavier Niel[126]. Se voulant journal « de référence »[2],[3],[4], régulièrement considéré comme tel[5],[6],[7], y compris à l'étranger[8],[9], il est le quotidien national payant le plus lu en France (2,42 millions de lecteurs en 2016)[10] et le deuxième en nombre d'exemplaires vendus (323 565 exemplaires par numéro en 2019)[11],[12]. Ce pôle dispose depuis 2019 d'un droit d'agrément sur les changements d'actionnariat[17]. La quasi-totalité du contenu textuel du journal y est accessible gratuitement tous les jours, en début d'après-midi. En février 2014, un mouvement de contestation est déclenché dans le journal par l'annonce d’un plan de mobilité prévoyant le passage vers la version numérique d’une cinquantaine de postes et la suppression d'un certain nombre de rubriques (Logement et exclusion, Économie sociale et solidaire, Banlieue...)[107],[108]. Pour les autres significations associées au Monde, voir, 1944-1968 : fondation et institution d'un journal de référence, 1969-1981 : le journal du soir du centre gauche, 1982-1994 : difficultés financières et éditoriales, 1994-2003 : stratégie d'expansion de Colombani, 2003-2008 : crise du journal et du directoire, Années 2009-2018 : le trio Bergé-Pigasse-Niel, Graphique de la diffusion en France et à l'étranger par année de 1999 à 2020, Applications pour smartphones et tablettes, « Cette victoire c'est enfin celle du respect sur le dédain, du réalisme sur l'illusion, de la franchise sur l'artifice, bref, celle d'une certaine morale, « entériné la vision fausse et facile d'un double génocide qui dédouanait la diplomatie française, gauche et droite confondues », « le pouvoir tentait de nous asphyxier par la voie industrielle », « sans doute n’était-il pas opportun, au moment où nous discutions notre avenir, d’irriter celui qui tenait une partie de la solution entre ses mains. Le Liban a rejoint la vingtaine de pays « en niveau catastrophique de famine », selon l’ONU. Il succède au journal Le Temps qui, victime de l'ordonnance du 30 septembre 1944 sur les titres ayant paru sous l'occupation de la France par l'Allemagne, a vu ses locaux réquisitionnés et son matériel saisi. Samuel Laurent a été condamné le même jour pour un tweet diffamatoire envers Olivier Berruyer : il était alors responsable de la rubrique des Décodeurs au Monde[180]. Le journal Le Monde touche des subventions de l'État. En avril 2008, il met en vente la société éditrice des Cahiers du cinéma, les Éditions de l'Étoile, achetée en janvier 2009, par le groupe d'édition d'art Phaidon en devient propriétaire et vend sa branche jeunesse, composée de Fleurus presse et de Junior hebdo, à Héros et Patrimoine, une société détenue par Financière de loisirs et par le fonds d'investissement américain Open Gate Capital. La Société des lecteurs du Monde (éditrice du journal) a publié en 2017 un chiffre d'affaires de 177 100 000 €, une perte de 775 000 € et un effectif de 650 personnes[191]. À la suite de la démission de Jacques Lesourne qui n'avait pu enrayer la chute de la diffusion du titre et du chiffre d'affaires publicitaire, Jean-Marie Colombani, rédacteur en chef, est élu directeur de la publication du journal en mars 1994[48], d'abord par la société des rédacteurs puis par les actionnaires du journal. Depuis le 15 septembre 2016, Le Monde ainsi que sept autres éditeurs de presse français (Paris Match, Vice, L'Équipe, Melty, Cosmopolitan, Konbini et Tastemade) diffuse tous les jours des contenus exclusifs et une expérience visuelle inédite sur Discover, l'espace réservé aux médias de l'application Snapchat[210]. C'est la troisième année d'affilée que le groupe affiche un bilan positif[137]. la section Critiques ci-dessous). Les dirigeants du Monde le licencient en octobre 2003 pour « cause réelle et sérieuse » : selon eux, un passage du livre de Daniel Schneidermann était « attentatoire à l’entreprise pour laquelle il travaille ». En revanche, la première moitié de l'année 2020, marquée par la pandémie de Covid-19, devrait impacter le chiffre d'affaires de 18 millions d'euros du groupe, avec une chute de 50 % des revenus publicitaires[138]. Le groupe Le Monde (précédemment appelé groupe La Vie-Le Monde) est un groupe de presse français qui édite notamment le quotidien Le Monde.Il est le produit de la prise de contrôle des Publications de la vie catholique par le groupe Le Monde en 2003. Il nomme, en avril 1994, Noël-Jean Bergeroux directeur de la rédaction. En 1985, la BNP exige que le journal vende son immeuble de la rue des Italiens[46]. Il est ainsi possible de lire Le Monde en ligne, en bénéficiant des fonctionnalités propres au numérique : feuilletage, zoom numérique, recherche, etc. Depuis 2009, Le Monde désigne une personnalité de l'année. Le journal refuse en 1957 la publication d'un article de Jean-Paul Sartre consacré à l'usage de la torture en Algérie[29]. Ses autres filiales sont : Télérama SA, Malesherbes Publications, Les Publications historiques et Sper. Par ailleurs, depuis septembre 2006, Le Monde.fr a lancé un nouveau service : le Journal électronique[198]. Le général de Gaulle, qui souhaitait doter la France d'un « journal de prestige » tourné vers l'étranger et qui serait « l'officieux » de la République, est un élément moteur de sa création[20]. Président du directoire, directeur de la publication : Directeur délégué aux relations avec les lecteurs : Gilles van Kote, Directrice déléguée à l’organisation des rédactions : Françoise Tovo, Directeurs adjoints des rédactions : Cécile Prieur (numérique), Marie-Pierre Lannelongue ("M Le magazine du Monde"), Benoît Hopquin et Caroline Monnot (quotidien), Directeurs éditoriaux : Gérard Courtois, Alain Frachon, Sylvie Kauffmann, Arnaud Leparmentier, Direction de l'innovation éditoriale : Nabil Wakim, Rédacteurs en chef du quotidien : Franck Johannès, Michel Guerrin, Christian Massol, Rédacteurs en chef responsables de la rédaction numérique : Julien Laroche-Joubert, Rédacteur en chef chargé de l'innovation : Michaël Szadkowski, Rédacteurs en chef adjoints de la rédaction numérique : Mathilde Gérard, Jonathan Parienté, Delphine Roucaute, Rédacteurs en chef et chefs de services : Christophe Ayad (International), Caroline Monnot et Nicolas Chapuis (France), Anne Eveno (Économie), Auréliano Tonet (Culture), Directeur artistique : Aris Papathéodorou, Secrétaire générale du groupe : Catherine Joly, Secrétaire générale de la rédaction : Christine Laget, La dernière page (la page 28 généralement) est consacrée au courrier des lecteurs ainsi qu'à un billet d'humeur d'une personnalité. Le pôle d'indépendance, composé notamment des diverses sociétés des employés (dont la Société des rédacteurs du Monde), de la société des lecteurs du Monde et de l'Assocation des actionnaires minoritaires, contrôle 25,5 % du groupe mais dispose d'un sociétés des rédacteurs du Monde et des publications du groupe, de la société des lecteurs du Monde[16]. Le même mois, le journal est condamné par un tribunal de Barcelone, à 300 000 euros de dommages-intérêts pour avoir publié un article jugé diffamatoire évoquant les pratiques du dopage au FC Barcelone[86]. Par exemple, l'édition sortant des rotatives le vendredi 1er sera datée samedi 2. Après avoir tenté en vain de racheter L'Express à Vivendi Universal Publishing (ex-Havas) en 1997[53], il prend le contrôle du groupe Les Journaux du Midi (anciennement Midi Libre SA) en 1999 et acquiert 30 % des « Publications de la vie catholique » en 2003 (notamment La Vie, Courrier international et Télérama dont il revend le patrimoine immobilier[54]). Le quotidien, destiné comme Le Temps aux élites[Note 1], tire à 150 000 exemplaires dès 1945. En janvier 2015, le groupe Le Monde annonce la construction de nouveaux locaux dans le 13e arrondissement de Paris près de la gare d'Austerlitz, ils devraient regrouper les rédactions du Monde et ceux de L'Obs[5]. Depuis des années, Bill Gates et son épouse, Melinda French Gates, parcourent le monde au nom de leur fondation. (...) Déplaire nous condamnait-il à dépérir ? Cette candidature provoque une rencontre entre le président de la République Nicolas Sarkozy et Éric Fottorino le 9 juin 2010 : le chef de l'État met en garde en déclarant que si l'option du trio Bergé-Pigasse-Niel était choisie, l'État renoncerait à verser vingt millions d'euros pour participer au sauvetage de l'imprimerie du journal[89],[90]. Le journaliste a poursuivi le quotidien aux prud'hommes de Paris, qui lui ont donné gain de cause en mai 2005[66] confirmé en appel en mars 2007[67]. Le Monde est ensuite en première ligne dans la dénonciation des scandales de l'ère Mitterrand (Affaire des Irlandais de Vincennes[43], Carrefour du développement, etc.). L'hostilité forte des journalistes du quotidien vis-à-vis de Valéry Giscard d'Estaing est étudiée en 2014, dans une enquête intitulée Le jour où… « Le Monde » choisit de torpiller Giscard[34]. Le Journal du dimanche, qui appartient au milliardaire Arnaud Lagardère, autre ami de Nicolas Sarkozy, fait savoir qu’il change d’imprimerie. Cela provoque la démission de Jean-Michel Dumay, qui claque la porte de la société des rédacteurs du Monde (SRM) en dénonçant un « marchandage indigne»[85]. En avril 2021, Le Monde annonce la création d'un fonds de dotation qui doit pérenniser « l'indépendance capitalistique du groupe »[139]. Jean-Michel Dumay voit son mandat de président de la société des rédacteurs renouvelé en 2006, mais Pierre Jeantet remplace Jean-Paul Louveau comme directeur général et, avec Bruno Patino, entre dans un directoire aux côtés d’Éric Fottorino. Pour se bricoler une morale minimale en des temps de crises sociale, écologique et sanitaire, Delphine Saltel explore chaque mois nos … En septembre 1998, Érik Izraelewicz, alors rédacteur en chef du Monde où il était responsable du traitement de l'économie, publie un article dans la revue Sciences humaines. Les Décodeurs, rubrique du site Web du journal Le Monde, créée le 10 mars 2014[121], se fixe pour objectif de vérifier les informations données sur des thématiques variées, dans les médias et sur les sites internet. Daniel Schneidermann, employé du Monde, critique dans son ouvrage Le Cauchemar médiatique la réaction de la direction du quotidien, en estimant que celui-ci ne répondait pas aux arguments du livre La Face cachée du « Monde ». Le Monde est sévèrement critiqué pour sa couverture de l'affaire Alègre notamment en propageant des rumeurs contre Dominique Baudis, alors président du Conseil supérieur de l'audiovisuel et ancien maire de Toulouse[166],[167]. Ainsi, en 1971, le journaliste Alain Bouc critique vigoureusement dans Le Monde le livre Les Habits neufs du président Mao de Simon Leys, qui révélait la nature du régime chinois[159]. En 1956, Le Monde devient propriétaire de son immeuble rue des Italiens. Les ouvrages sont classés par ordre chronologique. Subventions : la presse passe au contrôle. Pour Éric Fottorino, « sans doute n’était-il pas opportun, au moment où nous discutions notre avenir, d’irriter celui qui tenait une partie de la solution entre ses mains. À l’approche des fêtes, Le Monde pétille d’idées, Contre Plenel, le gouvernement ressort l'affaire Baudis, « L’offensive d’hiver du parti de la presse et de l’argent », « Pierre Bergé insulte les journalistes du, Le Monde: Jean-Marie Colombani passe Edwy Plenel au hachoir, Le journal le Monde annonce par erreur la mort de Bernard Tapie. En 1995, il lance une nouvelle formule du quotidien. Le 11 décembre 1944, Hubert Beuve-Méry fonde la société à responsabilité limitée Le Monde au capital de 200 000 francs répartis en 200 parts sociales, son premier comité de rédaction comprend également René Courtin, professeur de droit, et Christian Funck-Brentano, ancien chargé des questions de presse au cabinet du général de Gaulle[22]. Marine Le Pen a finalement recueilli au 1er tour 18 % des voix des 18 à 24 ans[145], soit presque la même proportion d'électeurs que dans l'ensemble de la population (17,90 %). Ainsi, Adam Nossiter du New York Times juge Le Monde « frénétique à l'égard de Nicolas Sarkozy et manquant de recul à l'égard du Front national »[172]. » Après l'élection, le soutien affiché du journal à François Mitterrand lui coûte de nombreux lecteurs[39]. En 2011, l'appli « Le monde : l'info en continu » est lancée sur Android[208]. C'est la troisième année d'affilée que le groupe affiche un résultat net positif[14]. Le Monde présente la particularité d'être daté du lendemain de son jour de parution. Les archives ont identifié deux journalistes du journal Le Monde et plusieurs collaborateurs qui ont été utilisés dans le cadre des opérations[157]. Ces critiques deviennent accusations dans l'essai La Face cachée du « Monde ». Il énumère les cas où Le Monde omet ou retarde des informations gênantes pour sa ligne éditoriale, voire diffuse de fausses nouvelles, parfois diffamantes[161]. : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Certains, comme Jacques Sapir, estiment que le Décodex mis en place est une « liste maccarthyste », qu'ils comparent à l’Index librorum prohibitorum[149],[150], « la liste établie par l’Église des ouvrages que les catholiques n'avaient pas le droit de lire »[151]. Son édition du jour est ainsi disponible vers 13 heures à Paris, Lyon et Toulouse[196] (ainsi qu'au format numérique imprimable) et le soir même dans quelques grandes villes de France[réf. Il est remplacé par Louis Dreyfus à la présidence du directoire[99],[100] et par Érik Izraelewicz, le 7 février 2011, comme directeur des rédactions du groupe. En juillet 2007, Pierre Jeantet a succédé à Jean-Marie Colombani à la présidence du directoire[1], avec Bruno Patino comme vice-président et Eric Fottorino comme directeur du quotidien Le Monde. Le 30 juin 2015, à la suite de la démission de Gilles van Kote due au refus de la Société des rédacteurs du Monde de soutenir sa candidature définitive[118] et à l'issue d'un deuxième vote de celle-ci[119], Jérôme Fenoglio accède au poste de directeur du quotidien tandis que Luc Bronner le remplace en tant que directeur des rédactions[120]. La filiale Le Monde interactif a d’abord été présidée par Alain Giraudo, puis par Bruno Patino, à la suite de l'échec du lancement du portail Tout.lemonde.fr en 2000. Une plainte du groupe pour diffamation[61],[62]médiatisée, est finalement résolu e par la médiation de Guy Canivet, premier président de la Cour de cassation, en juin 2004, évitant le procès[63],[64]. Tradition and change in the French press », L'ebook a 40 ans > 1995 > La presse imprimée se met en ligne, « Daniel Schneidermann, deux fois en appel : un procès gagné, l’autre pas », Le Monde appelle à voter pour Ségolène Royal, « Démission du directoire du Monde: Fottorino accuse la Société des rédacteurs », « Intervention du président Sarkozy dans la reprise », Natalie Nougayrède élue à la direction du, Au «Monde», une ligne dure pour les salariés, « La quasi-totalité de la rédaction en chef du Monde "démissionne" de ses fonctions », La directrice du Monde lâche ses deux adjoints, Le Monde–Tablettes : divergence Niel-Nougayrède, Crise au Monde : la directrice Natalie Nougayrède annonce sa démission, Natalie Nougayrède démissionne de son poste de directrice du Monde, « Démission de Gilles van Kote, directeur du "Monde" », « Jérôme Fenoglio désigné nouveau directeur du "Monde" », « Sylvie Kauffmann est nommée directrice de la rédaction du, Liste de sondages sur l'élection présidentielle française de 2012, « Ces jeunes qui ont rejoint le Front National », « Qui décodexera le Décodex? En l'absence de soutien des actionnaires[112], Natalie Nougayrède jette l'éponge et démissionne de son poste[113],[114]. À l'époque, la ligne éditoriale, sans se revendiquer explicitement de gauche, est généralement solidaire des mouvements révolutionnaires « socialistes » (Vietnam, Portugal, allant jusqu'à titrer « Phnom Penh libérée » lors de la prise de la ville par les Khmers rouges, en avril 1975[35],[36]). En avril 2008, il a mis en vente la société éditrice des Cahiers du cinéma, les Éditions de l'Étoile. Les deux actionnaires de référence, Xavier Niel et Matthieu Pigasse, acceptent la signature du droit d'agrément demandé par les rédactions du journal[133] et la négociation entre Le Nouveau Monde et Prisa n'aboutit finalement pas[134]. Le 15 décembre 2010, Éric Fottorino est révoqué de la présidence du directoire du groupe Le Monde et de sa fonction de directeur de la publication, pour divergences de point de vue avec les actionnaires. Enfin, divers actionnaires individuels possèdent 2 % du capital[16]. L'édition électronique du journal a d'abord été créée en 1994. Voici donc les patrons aux bonnes mesures à télécharger.Chaque schéma à télécharger rentre dans un format A4 (21 X 29,7 cm) et le pourcentage d’agrandissement est indiqué dessus. Dans ce sondage, « le sous-échantillon des jeunes 18-24 ans comportait moins de 200 personnes », ce que Le Monde n'a pas signalé à ses lecteurs, selon la Commission des sondages[142], qui s'en est émue. Orange et Le Nouvel Observateur décident de se retirer[93] et le choix est validé par le vote du conseil de surveillance (11 voix pour et 9 abstentions) le 28 juin[94]. En mai 2011, irrité par le contenu d'un article du Monde consacré à François Mitterrand signé par l'historien François Cusset, l'actionnaire Pierre Bergé dira « regretter » d'avoir investi dans le quotidien[168]. En juillet de la même année, Matthieu Pigasse et Daniel Kretinsky négocient le rachat des parts du groupe espagnol Prisa qui détient 20 % dans le groupe Le Monde, suscitant de nouvelles tensions avec Xavier Niel[124] et il est question que Daniel Kretinsky prenne le contrôle de la holding Le Nouveau Monde[126].