Comité ministériel arabe, avec le Maroc comme membre, pour mettre un terme aux politiques israéliennes illégales à Al Qods occupée, Le Maroc réitère son rejet catégorique des mesures unilatérales affectant le statut juridique d'Al-Qods Acharif, Covid-19 : 242 cas confirmés en 24 h, 258 nouvelles rémissions, Benslimane : Démantèlement d'un atelier clandestin de fabrication de sacs en plastique interdits, Le moral des ménages s'améliore au premier trimestre 2021, Le MCJD et l’ADD scellent un partenariat pour créer une application mobile, La sédentarité accroit le risque de décès du Covid, selon une étude, Le président du ministère public veut rationaliser l’émission des avis de recherche, Nouvelle organisation et nouveaux produits pour Renault Maroc. L’économie marocaine devrait renouer avec une croissance de 4% en 2021, mais un retour au niveau préalable à la pandémie ne devrait pas intervenir avant 2022. 16 ème édition du Prix de L’Economiste pour la Recherche en Economie, Gestion et Droit 2020. Cette prévision tient compte de l’atténuation de l’incertitude politique et le redémarrage de l’investissement au niveau de ce pays. In « Mémorandum économique : le Maroc à l’horizon 2040 - Investir dans le capital immatériel pour accélérer l’émergence économique », Banque Mondiale. Des anticipations positives ont été formulées par la Banque mondiale en faveur du Maroc. Le déficit budgétaire devrait s’alourdir à 7,8% et la dette publique dépasser 76% du PIB en 2020. Selon les experts de la Banque mondiale, les impacts de la crise sur les entreprises ont été plus forts au Maroc que dans les autres 24 pays concernés par cette enquête mondiale. Le bilan de la crise sanitaire reste également lourd pour le secteur privé. Et d’ajouter qu’«une forte augmentation de la volatilité des prix du pétrole pourrait compliquer ou retarder les rééquilibrages budgétaires dans les pays exportateurs ou importateurs de pétrole. Le Maroc a affiché en 2020 un excédent commercial avec la Pologne de près de 180 M$. Ce taux ira crescendo pour atteindre les 3,6% en 2021 et 3,8% en 2022. Par ailleurs, l’économie marocaine devrait être doublement affectée par les chocs économiques intérieurs et extérieurs. L’économie nationale recule de 7% en 2020 La croissance économique au Maroc aurait connu une récession de 7% en 2020, suite aux effets de la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19) et de la succession de deux campagnes agricoles sèches, indique le Haut Commissariat au Plan (HCP). Le Maroc devrait atteindre, selon les prévisions de la Banque mondiale, une croissance de l’ordre de 3,5% en 2020. Si l’on prend en considération une croissance annuelle moyenne pré-pandémique, entre 3 et 4%, le Maroc perd ainsi presque 10% de croissance en 2020. L'effet de la sécheresse et la crise Covid-19 sont visibles. La croissance du PIB au 1er trimestre 2020 s'est établie à 0,1% contre 2,8% une année auparavant, indique le HCP qui vient de publier les comptes nationaux trimestriels. Cette dernière devrait atteindre les 5,1% en 2020 pour revenir à 2,7% en 2021 et 2,5% en 2022. «L’incertitude quant au rythme des réformes assombrit également les perspectives de croissance de la région MENA, en particulier dans les économies hors Conseil de coopération du Golfe», souligne l’institution financière. Après une hausse de 10% dans la Loi de finances (LF) 2019, le gouvernement prévoit une nouvelle hausse des ressources allouées à ce département pour 2020. Cependant, dans le court terme, les mécanismes d’injection de liquidité mis en œuvre par l’État restent encore essentiels pour éviter la destruction du tissu productif et éviter une vague d’insolvabilité des entreprises. Le Maroc devrait atteindre, selon les prévisions de la Banque mondiale, une croissance de l’ordre de 3,5% en 2020. Dans un spectre plus large, l’économie iranienne devrait se stabiliser en 2020 et ce après un net ralentissement en 2019. 26 Avril 2021 ; par Elimane SEMBENE; 0; Le Maroc est le troisième fournisseur de tomates au Royaume-Uni avec plus de 83 millions de kilos exportés en 2020 d’une valeur de plus de 104 millions d’euros. Sur le plan budgétaire, la pandémie aura un impact négatif sur le rythme de l’assainissement budgétaire et, à son tour, sur les besoins de financement brut et la dette. Le PIB réel devrait se contracter de 6,3 % en 2020, principalement en raison de la pandémie de COVID-19, mais aussi des effets de la mauvaise pluviométrie sur le secteur agricole. Avec des baisses de 8,7 et 5,5% affichées respectivement aux troisième et quatrième trimestres, une contraction du PIB réel de 6,3% est prévue en 2020. En dépit de la reprise dans les économies émergentes et en développement, le taux de croissance par habitant resterait inférieur aux moyennes à long terme. Bank Al-Maghrib pense que la croissance marquerait un rebond à 4,2% en 2021. Ce taux ira crescendo pour atteindre les 3,6% en 2021 et 3,8% en 2022. Le retard des campagnes de vaccination au sein de l’Europe pèsera sur la reprise économique au Maroc, et particulièrement sur le secteur touristique. À plus long terme, le Maroc pourrait stimuler la concurrence et instaurer des conditions équitables pour les nouveaux entrants sur les marchés des biens et services, tout en améliorant son capital humain et ses cadres institutionnels. Selon elle, l’économie accuserait une contraction de 5,2% en 2020, la plus forte depuis 1996 (contre une projection de 2,3% en mars dernier). La Banque mondiale fait observer également que les investissements associés à la reconstruction et à l’assouplissement budgétaire devraient soutenir la croissance de l’Irak. « Le Maroc, entre changement et inertie », nouvel ouvrage du Pr Abdeslam Seddiki 20 mars 2021 Le gouvernement dresse le bilan d’un an de la gestion de la pandémie Covid-19 «En 2020, le pays devrait subir sa première récession depuis les années 1990. J'avais peur que certains titres soient plus "rugueux", en p ... Recevez des infos fraîches et exclusives. «. Si l’on prend en considération une croissance annuelle moyenne pré-pandémique, entre 3 et 4%, le Maroc perd ainsi presque 10% de croissance en 2020. La contraction économique de 14,9% qui a eu lieu au deuxième trimestre – coïncidant largement avec le confinement – est la plus importante jamais enregistrée. Retrouvez les horaires de vos trajets en un seul clic ! L’économie marocaine recule de 7% en 2020 (HCP) La croissance économique au Maroc aurait connu une récession de 7% en 2020, suite aux effets de la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19) et de la succession de deux campagnes agricoles sèches, indique le … En Afrique du Nord, la croissance de la Tunisie devrait s’améliorer de 2,2% en 2020 pour se stabiliser à 2,6% en 2021 et 2022. Des experts d'ici et d'ailleurs ont la journée durant décortiqué cette grande interrogation. Sur les 5 premières économies africaines –Nigeria, Afrique du Sud, Egypte, Algérie et Maroc- seule l’Egypte devrait afficher une croissance autour de 2%, alors que le Nigeria, l’Afrique du Sud, l’Algérie et le Maroc devraient entrer en récession avec des taux de croissance en contraction de respectivement -8,9%, -8,2%, -6,4% et -6,3%, selon les dernières estimations des Banques centrales. «En outre, les politiques industrielles appropriées contribueraient à consolider la position du Maroc en tant que destination nearshoring pour les entreprises multinationales et ainsi tirer parti des opportunités stratégiques qui pourraient émerger globalement dans le monde post-pandémie». La progression du budget cette année sera de 14,4%, selon PLF 2020. La Banque mondiale note par ailleurs dans sa publication relative aux perspectives de croissance de la région MENA que les projections émises à moyen terme dépendent de l’atténuation des conflits armés et de la maîtrise de leurs retombées régionales. Reprise économique: le retard de vaccination en Europe pèse sur le Maroc Vendredi 07 Mai 2021 - Par admin. La Banque mondiale note par ailleurs dans sa publication relative aux perspectives de croissance de la région MENA que les projections émises à moyen terme dépendent de l’atténuation des conflits armés et de la maîtrise de leurs retombées régionales. Selon la Banque mondiale, l’économie marocaine devrait renouer avec une croissance de 4% cette année, grâce à la «récupération de la valeur ajoutée agricole, la reprise de celle non agricole et l’allègement par l’État des mesures de confinement» (lire ci-contre les prévisions du Haut-Commissariat au Plan – HCP). La dette nette du Trésor devrait passer à 68,8% du PIB cette année. La reconstruction de l’économie et de l’Administration (1956-1973) Au lendemain de l’indépendance, le Maroc avait besoin de restructurer son économie pour faire face aux impératifs de croissance. Le fret est maintenu sur la France ? La demande intérieure devrait porter la croissance économique en 2020 avec un rythme d’évolution en accélération, émanant d’une hausse soutenue de la consommation nationale finale et de l’accroissement de l’investissement brut. Sur le plan micro-économique, l’enquête auprès des entreprises (1.096 unités) menée (en juin/juillet 2020) par la Banque mondiale montre également un impact important et persistant de la pandémie de la Covid-19 sur le secteur privé formel. Jeudi 28 Novembre 2019 II n Les défaillances seront 35% supérieures au niveau de 2016 n Le seuil de 9.000 faillites atteint en 2020 au Maroc n Délais de paiement, première cause de mortalité des TPME A U moins 500 chefs d’entreprise Casablanca: 450 nouveaux bus Alsa arrivent mi-février. Maroc : pour relancer l'économie, Mohammed VI fixe une feuille de route en trois pôles Par Mounir El Figuigui 13/10/2020, 13:30 | 1339 mots Lecture 7 min. Et en dépit de quelques signes de reprise, la situation reste fragile étant donné la dégradation de la situation épidémiologique enregistrée ces derniers temps. – Aux prix courants, le PIB a connu une hausse de 0,4 % au lieu de […] Cette dynamique régionale serait portée par la hausse des investissements, favorisée par les projets d’infrastructure du secteur public et l’amélioration du climat des affaires. Pour rappel, la Banque mondiale anticipe un léger rebond de l’activité économique au niveau mondial. 14 janvier 2021 à 20:06. L’institution salue également les diverses réformes structurelles importantes annoncées, notamment la généralisation de l’assurance maladie, une refonte du système de protection sociale autour d’une universalisation des allocations familiales ainsi que la rationalisation du vaste réseau des entreprises publiques. La crise sanitaire aurait coûté, en 2020, environ 10% de PIB annuel au Maroc. Selon la Banque mondiale, les réformes politiques et la résilience du tourisme devraient stimuler la reprise de la croissance du Maroc. La Banque mondiale anticipe un rebond pour l’économie nationale. Une amélioration qui, selon l’institution financière internationale, serait tirée par l’activité touristique, et ce à l’instar de la Tunisie. La Banque mondiale table sur une contraction du PIB réel marocain de 6,3% en 2020. 6,1% des entreprises du secteur formel auraient cessé leurs activités et 86,9% signalent une baisse des ventes de 50,4% en moyenne. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. L’Union Européenne représente toujours le premier partenaire commercial du Maroc (53,1 % des importations et 66,7% des exportations, soit des chiffres relativement stables par rapport au … Sans surprise, l’année 2019 confirme le positionnement géographique du Maroc dans l’économie mondiale. En outre, 5,7% des employés ont été congédiés au moment où 56,1% des entreprises ont réduit les heures travaillées, sachant que l’économie marocaine a perdu 581.000 emplois en un an. Cette rencontre, animée également par Jesko Hentschel, directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Maghreb, et Éric Le Borgne, économiste principal, fait état également d’un bilan lourd sur le plan macro-économique. L’état d’urgence sanitaire prolongé, Une machine marocaine pour la fabrication des masques de protection voit le jour, Trafic international de cocaïne : Un nouveau coup de filet du BCIJ, Gestion des déchets post-Aïd – Période festive sous haute surveillance sanitaire : Casa Baïa monte au créneau. Pour Fitch ratings, la dégradation des finances publiques et extérieures du Maroc justifie le maintien de la note « BB+ » attribuée en octobre dernier. C’est ce qui ressort du Rapport semestriel de suivi de la situation économique du Maroc, publié par la Banque mondiale et présenté lors d’une table ronde en ligne organisée le 14 janvier en présence de trois économistes de l’institution de Bretton Woods. Le budget général du département dirigé par Khalid Ait Taleb en 2020 sera donc de 18,6 MMDH contre 16,3 MDH en 2019. Ce rebond attendu intervient au moment où la région Moyen-Orient-Afrique du Nord afficherait une croissance de l’ordre de 2,4% en 2020. En Égypte, la hausse continue de la consommation privée et de l’investissement porterait la croissance économique à 5,8% durant 2020. Si l’on prend en considération une croissance annuelle moyenne pré-pandémique de l’économie marocaine, entre 3 et 4%, le Maroc perd ainsi presque 10% de croissance économique en 2020», a déclaré Javier Diaz Cassou, économiste senior de la Banque mondiale et co-auteur de ce rapport sur le Maroc intitulé «De la riposte d’urgence à la reprise». Trouvez la pharmacie de garde dans votre quartier et ville! Pendant plusieurs siècles, l’économie marocaine s'est contenté d’être une économie de subsistance formé principalement de paysans et d'artisans, ces derniers fabriquant notamment armes, broderies, tissus, poteries, cuir, meubles et bijoux . Elle devrait ainsi s’établir à 2,5% contre 2,4% en 2019. L’ambassadrice du Canada en visite à Eco-Médias. Le déficit budgétaire global devrait atteindre plus de 6% du PIB en 2020. «L’économie iranienne devrait se stabiliser après une année de contraction, à mesure que l’impact des sanctions diminue et que la production et les exportations de pétrole se stabilisent», relève-t-on de la Banque mondiale. … Des anticipations positives ont été formulées par la Banque mondiale en faveur du Maroc. Sous l’effet conjugué des conditions climatiques défavorables et de la pandémie de Covid-19, l’économie marocaine devrait connaître, selon le scénario retenu par BAM, une contraction de 6,3 % … Réalisée en partenariat avec le conseil régional : Les travaux de la CMC du Souss-Massa dépassent les 85 %, La situation épidémiologique au 11 mai 2021 à 16H00, Covid-19: Les mesures préventives continuent de porter leurs fruits, L’Agence nationale des eaux et forêts au menu du Conseil de gouvernement de ce ce mercredi, La digitalisation des entreprises en Afrique francophone : Un nouveau programme Rise with SAP, Marrakech : Campagne de solidarité en faveur des artistes de la place de Jemaâ El Fna, Rapid Transformation Coaching by Mohamed Elmenjra, Des idées novatrices pour «le Maroc d’après», En faveur de la compagnie aérienne Pegasus Airlines : ABL Aviation réalise la deuxième livraison électronique, Ouverture partielle des frontières: de nouvelles conditions dévoilées, Les précisions de la RAM : Vols programmés exceptionnellement dès le 15 juillet 2020, C’est officiel ! Fitch confirme sa note « BB+ » pour le Maroc avec des perspectives stables. La croissance économique au Maroc serait de 3,5% en 2020, selon les perspectives de la banque mondiale livrées dans son dernier rapport intitulé “Perspectives économiques mondiales”. L’économie algérienne devrait afficher une croissance de 1,9% durant cet exercice pour se situer à 2,2% en 2021 et 2022. Toujours selon le rapport, le PIB réel devrait contracter de 4 % en 2020 dans le scénario de référence, ce qui contraste fortement avec l’expansion de 3,6 % prévue avant l’épidémie. Elle pourrait, également, retarder les programmes d’investissement dans les pays exportateurs et entraver les réformes des subventions dans les pays importateurs en augmentant l’incertitude associée aux futures sources de revenus et de recettes». De ce fait, à en croire un scénario de référence, le PIB réel reculerait de 1,5% en 2020. X, Moncef Ben Hayoun, 86,9% signalent une baisse des ventes de 50,4% en moyenne par rapport à leur niveau pré-pandémique. La croissance économique du pays devrait connaître un redressement au titre de cette année. Inscrivez vous à notre Newsletter, EEP : Les délais de paiement sur un trend baissier, Aziz Akhannouch : Des décisions attendues de l’Espagne pour rétablir la confiance, Vidéo-Voyager à la veille de l’Aid : La grogne des transporteurs, La Conservation foncière s’engage à doter le ministère de l’Éducation de cartographies officielles. Maroc : L’économie se contracte de 13,8% au 2e trimestre 2020 Par Lavieeco Le 6 Juil, 2020 L’économie nationale aurait régressé de 13,8% au deuxième trimestre 2020, au lieu d’une hausse de 0,1% un trimestre plus tôt, selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP). Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. «, Cette prévision tient compte de l’atténuation de l’incertitude politique et le redémarrage de l’investissement au niveau de ce pays. La Banque centrale marocaine est la dernière institution à avoir actualisé ses projections de croissance. Sa progression se fera, toutefois, trop lente. L’économie marocaine s’était contractée de 8,7 % au T3 2020 (contre -14,9 % un trimestre plus tôt). La Banque mondiale table sur une contraction du PIB réel marocain de 6,3% en 2020. Voici les points-clés de la note d’information du Haut-commissariat au plan (HCP) sur la situation économique nationale au premier trimestre 2020 : – Le taux de croissance de l’économie nationale s’est établi à 0,1 % au T1-2020 contre 2,8 % une année auparavant. L’ambassadeur du Japon au Maroc en visite à Eco-Médias. Ce rebond attendu de l’économie nationale intervient au moment où la région Moyen-Orient-Afrique du Nord afficherait une croissance de l’ordre de 2,4% en 2020. Un retour de l’économie marocaine au niveau préalable à la pandémie ne devrait pas intervenir avant 2022. Économie Pharmacies : Ce Ramadan a été marqué par une baisse d’activité de 50% Le crédit bancaire enregistre une amélioration de 3,3% au 1er trimestre Moins de destruction d’emplois au Maroc En conséquence, le PIB réel devrait reculer de 1,7 % en 2020. Copyright © 2021 by Aujourd'hui le Maroc. Ainsi il a mis en place des plans d’équipement et d’industrialisation (le Plan biennal 1958-1959 et le Plan quinquennal 1960-1964). Une amélioration qui, selon l’institution financière internationale, serait tirée par l’activité touristique, et ce à l’instar de la Tunisie. “L’activité touristique favorable continue de soutenir la croissance des importateurs de pétrole, tels que le Maroc et la Tunisie. Perspectives prometteuses pour l’économie nationales en 2020 Le CMC table sur une croissance de 4,6%. «Les réformes politiques et la résilience du tourisme devraient stimuler la reprise de la croissance du Maroc», peut-on relever de la Banque mondiale. Merci ... n importe quoi le mec heureusement on est pas tous comme ca les mecs va te faire soigner mon poteeeeeeeeeee ... Bjr je voudrai recevoir mais facture en email et pouvoir activer mon compte merci redal ... Bonne production, bonnes compos, l'ensemble est cohérent dans le style FM mélodique. de l’économie marocaine se traduit donc par une faiblesse persistante des gains de productivité, qui hypothèque la convergence avec des économies plus avancées. Le Maroc 3ème fournisseur de tomates du marché Britannique. À moyen terme, en supposant un schéma de reprise en V après l’impact de la COVID-19, la croissance devrait reprendre à partir de 2021 pour atteindre 5,5 % à mesure que la production reviendra aux niveaux prévus avant la pandémie. Dans un spectre plus large, l’économie iranienne devrait se stabiliser en 2020 et ce après un net ralentissement en 2019. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Se référant à la Banque mondiale, la croissance régionale s’inscrirait en accélération. À ce sujet, la Banque mondiale salue la mise en place de la stratégie de relance ambitieuse, qui mobilise près de 11% du PIB sous forme de fonds d’investissements et de prêts garantis pour les injecter dans les capitaux des entreprises et donner une nouvelle impulsion aux partenariats publics-privés liés aux infrastructures. Ce rebond attendu de l’économie nationale intervient au moment où la région Moyen-Orient-Afrique du Nord afficherait une croissance de l’ordre de 2,4% en 2020. «Quelle économie numérique au Maroc en 2020?», c'est en effet la question que s'est posée cette année, l'Association des anciens élèves de Télécom Paris Tech (ATAM). À titre indicatif, 6,1% des entreprises du secteur formel auraient cessé leurs activités. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Les intervenants lors d'une visioconférence, sous le thème "Comment agir maintenant pour faire de l'économie bleue un pilier de croissance du nouveau modèle de développement du Maroc", ont plaidé en faveur d'une nouvelle économie bleue marocaine durable et inclusive. Le déficit du compte courant s’aggraverait également pour atteindre 6% du PIB cette année. En fermant vous acceptez la politique cookies. La croissance économique du pays devrait connaître un redressement au titre de cette année. Cependant, le Royaume enregistre moins de destruction d’emplois, en raison essentiellement «d’une législation du travail moins flexible, mais aussi des mesures du soutien public.