Certains à l'instar de Shimon Peres et Binyamin Ben-Eliezer militent en faveur de négociations avec les Palestiniens à condition de l'arrêt du terrorisme et du remplacement de l'actuel gouvernement palestinien par un gouvernement « non-violent qui serait en faveur de la paix ». En vue des élections législatives de 2015, le Parti travailliste s'allie avec Hatnuah et le Mouvement vert pour former une coalition de centre-gauche appelée Union sioniste. 7 relations: Israël, Knesset, Mossad, Parti travailliste israélien, Personnalité politique, 1996, 1998. Le parti travailliste israélien résulte de la fusion du mouvement Poale Zion, littéralement « les travailleurs de Sion », et du Mapaï, qui résultait lui-même de la fusion de deux organisations socialistes sionistes : le parti Hapoel Hatzaïr et le parti Akhdut HaAvoda. Cette fusion leur permis d’obtenir une majorité confortable à la Knesset. Juste avant ces élections, le paysage politique est redessiné : Ariel Sharon et la majorité des représentants à la Knesset du Likoud, avec une partie des représentants du Parti travailliste (y compris Shimon Peres), et d'autres provenant d'autres partis encore, forment un nouveau parti, Kadima. En conséquence, en raison de l'opposition interne, Amram Mitzna démissionne de la présidence du parti[7] et est remplacé peu après par Shimon Peres. Amir Peretz annonce son intention de recentrer le parti autour de ses valeurs traditionnelles et quitte la coalition gouvernementale, obligeant à Ariel Sharon à démissionner et à convoquer de nouvelles élections qui ont lieu en 2006. Plusieurs membres du parti le quittent, comme Ami Ayalon et Efraim Sneh (qui fonde Yisrael Hazaka). Il représente un enjeu stratégique et économique (...) Ils sont néanmoins en faveur d'une « guerre contre le terrorisme », et donc en faveur des « assassinats ciblés ». Elle participa en 1930 à la création du Mapaï, aux côtés de David Ben Gourion, et fut élue dès 1934 à la tête du Comité central de la Histadrout, le grand syndicat de gauche. (5) http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20001208.OBS9990/ehoud-barak-a-annonce-sa-demission.html Le rôle du Parti travailliste devint pour une grande part lié au controversé processus d'Oslo, basé sur le principe de la « terre pour la paix ». Parti travailliste israélien. Après avoir suivi des cours de sciences politiques à l’université de Birzeit, en Cisjordanie, elle a réalisé un mémoire sur les conséquences du printemps arabe sur la stratégie israélienne et prépare une thèse sur le même sujet à l’Institut Français de Géopolitique. Sous la direction de David Ben Gourion (des années 1930 aux années 1950), le Mapaï se focalise sur les objectifs sionistes, le plus urgent étant à l'époque la fondation d'un foyer national pour les Juifs. 05/10/2020 • 9 min, Dans les années 1950, les populations africaines n’ont pas toutes accédé à l’indépendance politique malgré l’émergence de mouvements indépendantistes et anticoloniaux. dans Analyses de l’actualité, Ehud Barak forma tout d'abord une coalition de 75 membres avec le Shas, le Meretz, l'Yisrael Ba'aliyah, le Parti national religieux et Judaïsme unifié de la Torah. Ehud Barak remporta l'élection au poste de Premier ministre, l'alliance remportant dans le même temps les élections législatives, mais avec seulement 26 sièges. Abandonner le symbole sioniste que constitue Jérusalem en affichant la volonté d'en céder une partie aux Palestiniens est une erreur désastreuse. Les Accords d'Oslo conduisirent à un vote de confiance devant la Knesset, que le gouvernement remporta avec 61 votes contre 50 (8 abstentions). Cependant, le Parti travailliste reste au sein de la coalition d'Ariel Sharon, ce dernier ayant formé un gouvernement d'unité nationale avec le Likoud, le Parti travailliste, le Shass, l'Yisrael Ba'aliyah et le Yahadut Hatorah, et obtient deux portefeuilles ministériels majeurs : Shimon Peres est nommé ministre des Affaires étrangères, et Binyamin Ben-Eliezer, ministre de la Défense. Issu du Mapam, du Ratz et d'une aile du Shinouï. Sans transition, le Parti travailliste israélien est fini Le parti de Ben Gurion, Eshkol, Meir et Rabin a dirigé Israël pendant des années. Quelques jours plus tard, Gabbay annonce la dissolution de l'Union sioniste[12]. Shimon Peres décida la tenue d'élections anticipées en 1996 pour obtenir un mandat lui permettant de faire avancer le processus de paix. C'est un parti sioniste social-démocrate, membre de l'Internationale socialiste et membre observateur du Parti socialiste européen. S’il est aujourd’hui marginalisé face au Likoud, le parti travailliste demeura la principale formation politique les premières décennies suivants la création de l’État israélien. Peretz est élu avec 47 % des voix devant Shaffir (26,9 %) et Shmuli (26,3 %)[13],[14]. Ils durent cependant composer avec l’élection de Benjamin Netanyahou à la tête d’un nouveau gouvernement de droite, en 1996. Younouss Mohamed, Si le caractère musulman (...) Cet héritage faisait alors partie de son passé, et le parti avait abandonné son rôle de défenseur des défavorisés aux partis de droite et religieux[8]. Ce syndicat, qui existe encore aujourd’hui, eut à l’époque un double rôle de protection des travailleurs et d’organisation du travail du Yichouv dans le contexte de la Palestine mandataire. Lors des premières élections législatives israéliennes en 1949, le Mapaï obtint une large majorité avec près de 36 % des suffrages et son dirigeant, David Ben Gourion, fut nommé à la tête du premier gouvernement. Page francophone du Parti Avoda sous la direction de Amir Peretz Les liens de proximité et d’amitié entre les deux pays se détériorèrent au point de se (...) Il échoua à reprendre le pouvoir quatre ans plus tard, mais après les élections de 1984, il fut capable de rejoindre le gouvernement d'union nationale avec le Likoud, le poste de Premier ministre tournant entre les deux partis. Sionisme et création de l’Etat d’Israël Les élections législatives anticipées d'avril 2019 sont un échec pour le parti qui obtient 4,4 % des voix et 6 députés à la Knesset, le plus mauvais score de son histoire. Lors des élections législatives de 1977, le Parti travailliste passa pour la première fois dans l'opposition. Le 7 octobre 1991, l'Alignement cessa d'exister, tous ses courants fusionnant au sein du Parti travailliste. La semaine dernière, le légendaire parti travailliste israélien semblait en voie d'extinction, les sondages indiquant qu'il ne gagnerait pas assez de voix lors des prochaines élections pour entrer au parlement. Après l’assassinat de Rabin, Shimon Péres lui succéda à la tête du parti et à la tête du gouvernement d’intérim. La majorité des élites politiques émergentes en Afrique du Nord comme en Afrique subsaharienne, à l’initiative de la majorité de ces (...), Géopolitique du vaccin au Moyen-Orient : point de (...), « Israël n’enregistre aucun mort du COVID-19 pour la première fois en 10 mois » , « Israël serait sur le point d’atteindre l’immunité collective » , « (...), Compte rendu du numéro spécial Manière de Voir – Monde (...), A relire, en lien avec l’actualité : Vincent Lemire (...), A relire, en lien avec l’actualité : Jérusalem depuis (...), Jean-Paul Chagnollaud, Israël / Palestine, la défaite du (...). En novembre 2005, Amir Peretz, dirigeant de Une Nation qui avait fusionné dans le Parti travailliste, fut élu président du parti en battant Shimon Peres. Le Parti travailliste soutient l'opération Rempart, menée en avril 2002 contre les Palestiniens en Cisjordanie. par Lisa Romeo, La nouvelle chef du parti Travailliste israélien s’appelle Merav Michaeli. Forces militaires / coopération régionale, http://www.zionism-israel.com/hdoc/Borochov_Eretz_Yisrael_Program.htm, http://www.knesset.gov.il/faction/eng/FactionPage_eng.asp?PG=77, http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20001208.OBS9990/ehoud-barak-a-annonce-sa-demission.html, http://www.akadem.org/medias/documents/personnalites.pdf, La politique étrangère cairote sous Sadate (3/3) : des conséquences de la guerre du Kippour (1973) au sein de l’OUA aux accords de Camp David (1979), un isolement progressif de l’Égypte fatal à Sadate, Dans cette troisième partie, nous revenons sur les conséquences de l’échec de la guerre éclair du Kippour opposant une importante coalition d’États arabes, soutenus par l’URSS, à l’État d’Israël, recevant un soutien des États-Unis dans un contexte global de guerre froide. En 1999, Benjamin Netanyahou décida d’organiser des élections anticipées, qu’il perdit cependant face au leader travailliste Ehud Barak, qui forma par ailleurs un gouvernement de coalition avec certains des partis ultra-orthodoxes, tels que le Shas et le Judaïsme unifié de la Torah. Ils soutiennent l'érection de la barrière de séparation israélienne dont l'objectif est d'empêcher les attentats en Israël, ainsi qu'un retrait unilatéral des territoires occupés par Israël. Bien que le parti travailliste retrouva sa majorité aux élections de 1984, il fut à nouveau distancé par le Likoud, cette fois-ci avec Yitzhak Shamir, en 1986. Malgré le fait qu'il ait indiqué qu'il retirerait le parti du gouvernement à moins qu'Ehud Olmert démissionne[10], Ehud Barak reste au gouvernement comme ministre de la Défense. Le 22 septembre, l'ancienne journaliste Shelly Yachimovich, qui fait de la question sociale sa priorité, est élue présidente du parti, avec 54 % des voix contre l'ancien dirigeant et ministre de la Défense, Amir Peretz. Joël David, le 22/03/2021 à 20:09; Lecture en 2 min. Elu à la présidence de l’État d’Israël le 15 juillet 2007, il occupa ces fonctions jusqu’en 2014. La présence des partis religieux (PNR, Shass et Yahadut Hatorah) provoqua des tensions avec le Meretz laïc, qui quitta la coalition après un désaccord avec le Shass sur l'autorité du vice-ministre de l'Éducation.