Fort de ce soutien, certains représentants de l’actuel exécutif irakien ont d’ores et déjà annoncé dimanche que le futur gouvernement intérimaire devrait être composé à … Celle-ci désigne un nouveau président et deux vice-présidents ; ces derniers nommeront un nouveau premier ministre, et donc un nouveau gouvernement qui remplace le gouvernement provisoire. Pour l’instant, les autorités irakiennes ont adopté une double politique : répressive avec un deni total de cette demande sociale et d’apathie, peu de réformes ont été mises en oeuvre, la reconstruction est absente. Le premier ministre irakien Haïder al-Abadi, le septembre devant le Parlement. Rappelons que la crise politique a été déclenchée par des manifestations de jeunes dénonçant la corruption et la situation socio-économique désastreuse en Irak. Le gouvernement irakien joue la carte de l’apaisement - Découvrez gratuitement tous les articles, les vidéos et les infographies sur liberte-algerie.com On est au point mort malheureusement avec très peu d’espoir d’un relèvement du pays dans les mois ou les années qui viennent. Elle est proposée à l'approbation du peuple le 15 octobre 2005 : 61 % des citoyens ont participé à cette consultation démocratique, malgré les tentatives d'intimidation qui ont fait quatre morts dans tout le pays. Ce sont aussi ces ingérences étrangères, soyons clairs, qui empêchent l’Irak de se relever depuis des décennies. Les manifestations populaires qui se déroulent actuellement en Irak ont révélé que la seule institution qui garde le gouvernement actuel intact est son Parlement. Ensuite, il va s’agir pour ce gouvernement de se relever économiquement de cette crise car l’Irak est un pays qui dépend de manière écrasante de la rente pétrolière. A l'automne 2007, Nouri Al-Maliki est en visioconférence avec le … Devant des députés masqués et gantés en raison du coronavirus, Moustafa al … Les Américains sont moins engagés qu’avant mais gardent un droit de regard sur le processus politique en Irak. Les Brigades du Hezbollah en Irak ont critiqué et rejeté toute ouverture du gouvernement irakien envers l’Arabie saoudite. À son retour en Irak, le général Barzani rassemble des hommes sous son commandement pour un seul objectif : l'autonomie. Irak : le gouvernement empêtré dans une crise politique, la contestation se poursuit à Bassora. En Irak, le grand ayatollah se dissocie du futur gouvernement, la rue mobilisée © AFP/AHMAD AL-RUBAYE. © 2021 Copyright RFI - Tous droits réservés. Jusqu'en 2003, l'Irak était officiellement une république depuis le début des années 1960, gouvernée par Saddam Hussein depuis le 16 juillet 1979. Au lieu de penser au pays, on a contenté les groupes ethniques. En septembre 2019, l'ancien Premier ministre irakien, Adel Abdel-Mahdi a signé un important accord pétrolier avec la Chine, ce qui a incité les États-Unis à mettre fin au gouvernement de Mahdi en lançant des manifestations anti-gouvernementales dans ce pays. Mais ces violences n'ont pas empêché les irakiens de se rendre aux urnes : le taux de participation s'établit à 58 % (8 456 266 votants). D'avril 2005 à mai 2006, le pouvoir est détenu par le gouvernement de transition dirigé par le chiite Ibrahim al-Jaafari. Les milices chiites ont déplacé certaines de leurs forces en Syrie vers l’Irak. En effet Téhéran a évidemment rapidement assuré le gouvernement irakien de son soutien. Quelles seront les priorités du gouvernement ? La journée du vote fut marquée par des attentats ayant tué 36 personnes dont 30 civils. Cette décision du gouvernement irakien a soulevé beaucoup de questions. Exaspérer ses alliés internationaux. Le gouvernement actuel, dirigé par le premier ministre Masrour BARZANI, est entré en fonction en juillet 2019. Dans les régions sunnites, l'abstention est toutefois supérieure à 80 %, voire 90 % . Jalal Talabani, le nouveau président irakien intérimaire, est un important dirigeant kurde, favorable à la scission de l'Irak en trois entités distinctes, idée considérée comme totalement inacceptable par la minorité sunnite. Il mène une lutte contre le gouvernement irakien du … Ce gouvernement pourra-t-il répondre aux revendications de la rue ? Son adjoint est Qubad Talabani. L’Irak est dans un entre-deux, ce qui dessert le relèvement du pays, le retour à sa souveraineté et la reconstruction d’un État viable, d’institutions, la remise en marche de l’économie et les reformes qui s’imposent. Et avec la déstabilisation des marchés, la baisse de l’offre, cela va impacter les finances du pays. RFI - Actualités, info, news en direct - Radio France Internationale. Parti islamique Dawa - Organisation d'Irak, Élections législatives irakiennes de 2014, élection d'une assemblée nationale constituante, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Politique_en_Irak&oldid=179920618, Article avec une section vide ou incomplète, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, La chambre haute est le Conseil de la Fédération. En poste depuis octobre 2018, Adel Abdel-Mahdi, économiste de formation, a été ministre des Finances puis du Pétrole avant de devenir Premier ministre. Devant des députés masqués et gantés en raison du coronavirus, Moustafa al … L’actuel chef du Conseil intérimaire de gouvernement irakien, Ghazi Machal Adjil al-Yaouar, un sunnite critique de l’occupation américaine, a été choisi mardi comme président du futur gouvernement provisoire irakien, après que le Devant des députés masqués et gantés en raison du coronavirus, Moustafa al-Kazimi, 53 ans, ancien chef du renseignement ayant ses entrées à Washington comme à Téhéran, a prêté serment avec quinze de ses ministres. Le Congrès des libertés en Irak est un parti de la gauche laïque, qui ne participe pas aux élections, ni aux institutions irakiennes, qu'il considère comme liées aux forces d'occupation. Le président irakien Barham Saleh a annoncé, jeudi 9 avril, la nomination en tant que Premier ministre de Moustafa al-Kazimi, actuel chef du renseignement. Après cinq mois de vacance du pouvoir, l'Irak s'est doté, tôt jeudi 7 mai, d'un nouveau gouvernement. L’Irak va sans doute passer par une récession très grave, d’autant plus que l’état économique et financier n’était pas rayonnant avant la crise. La semaine dernière, c'est un prêche en son nom qui avait précipité la chute du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi, un an après sa prise de fonctions. Son adjoint est Qubad Talabani. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.