Ceux-ci auraient encore eu 45 morts entre le 11 et le 14 décembre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon France 24 : « Les critiques dénonçaient le manque de pertinence de l’échantillon retenu. Les assassinats « religieux » se multiplient : ceux de nombreux chefs religieux chiites tel que l'Ayatollah Mouhammad Baqir Al-Hakim et Abdoul Majid al Khoï (chef chiite irakien modéré et pro-occidental, revenu d'exil après 12 ans), ceux de chrétiens autrefois protégés par le régime laïc de Saddam Hussein. Renaud Girard : après Daech, comment sauver le Moyen-Orient ? Si le commandant estime qu'un journaliste ne répond pas à cette exigence, ce dernier sera évacué du théâtre des opérations. Ils ne peuvent pas non plus diffuser d'informations sur les unités des opérations spéciales. En octobre 2009, le ministère irakien des Droits de l'homme avance qu'au total de 85 694 personnes ont été tuées depuis le début du conflit[3]. Pour justifier leurs soupçons sur l’existence de liens entre l’Irak et Al-Qaeda, les services de renseignements américains évoquent différentes rencontres entre Ben Laden ou ses sbires, et des personnalités irakiennes du renseignement ; Selon les services de renseignements, d’autres rencontres auraient encore eu lieu, dont une au cours de laquelle Saddam Hussein aurait proposé à Ben Laden de s’installer dans son pays. Ils ne peuvent faire usage de lumière (flashs ou spots lumineux) lorsqu'ils couvrent des opérations de nuit, à moins que cela ne soit autorisé par le commandant. REUTERS. Elle vise la minorité religieuse des Yézidis, faisant 572 morts et 1 562 blessés[110]. Elle s'achève en 2008 par la victoire des milices chiites qui prennent le contrôle de Bagdad et chassent la majeure partie de la population sunnite de la capitale, tandis que Nouri al-Maliki forme un gouvernement à la tête du parti chiite Dawa[13]. Elle se manifeste particulièrement dans certains restaurants où les frites, appelées usuellement « French Fries », sont renommées «. Le journaliste Ari Shavit écrivait le 3 avril 2003 dans le journal israélien Haaretz[27] : « La guerre d'Irak a été conçue par vingt-cinq néoconservateurs, juifs pour la plupart, qui incitent le président Bush à changer le cours de l'histoire .» Ari Shavit donnait la parole à un de ces néoconservateurs, William (Bill) Kristol, qui mettait au crédit de l'intervention américaine l'absence d'attaque contre Israël[28]. Le nombre des victimes irakiennes n'est pas connu avec exactitude et varie considérablement selon les sources, les diverses estimations allant de 100 000 à plus d'un million de morts pour la période 2003-2011, tant parmi les combattants que les civils[1],[2],[3]. Joseph Stiglitz et cette finance qui nous pigeonne, « Le Congrès demande à Bush un retrait d'Irak à partir du, « Le jour où les États-Unis se sont retirés d’Irak », « la cause religieuse l'emporte sur la cause nationale. Le 19 mars 2003, à 21 h 37, soit quelques heures après la fin de l'ultimatum de 48 heures qui demandait au président irakien Saddam Hussein ainsi qu'à ses fils Oudaï et Qusay de quitter l'Irak, les États-Unis ont lancé des missiles sur Bagdad. nécessaire]) et ne disposant pas d'une logistique leur permettant de se déplacer à plus de quelques dizaines de kilomètres de leur garnison[réf. [...] Pour nous, c'était une activité mandatée ». Différentes commissions s'ouvrent courant juillet 2003, au Royaume-Uni et aux États-Unis, à propos des faux documents confirmant la présence d'armes de destruction massive soumis par ces gouvernements à leur population. Le plus important rassemblement et le plus symbolique s’est déroulé à Washington. Les forces spéciales américaines se contentèrent de progresser vers le nord, afin de contrôler la frontière de l'Irak avec la Syrie et d'empêcher ainsi une fuite éventuelle des dirigeants irakiens en direction de la Syrie, si ceux-ci avaient décidé de faire une telle tentative[réf. Mais les violences continuent. Selon le Combined Press Information Center du Multi-National Forces-Iraq (MNF-I), le but de ces règles n'est pas d' « empêcher la publication d'informations embarrassantes, négatives ou de dénigrement » ou de porter atteindre au droit des médias de couvrir les opérations de combat ; le CPIC considère que « durant une opération, des informations spécifiques sur les mouvements, des tactiques et la disposition des forces alliées qui pourraient mettre en péril la sécurité ou la vie ne doivent pas être diffusées ». Les compagnies américaines telles que TRW, Raytheon et Lockheed Martin sont également impliquées dans le projet. Jason H. Campbell et Michael E. O’Hanlon. » (Propos de William Kristol cités par Ari Shavit, « Pour des raisons bureaucratiques, nous nous sommes concentrés sur la raison principale, à savoir les Armes de Destruction Massive, parce que c'était celle que tout le monde acceptait mais... il y a toujours eu trois arguments principaux. Seuls 41 % exige le retrait de ces troupes (source : la guerre en Irak a mis à mal des institutions internationales, qui ont contribué à stabiliser le monde pendant la guerre froide notamment, telle que l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) ou l'Organisation des Nations unies (ONU). La police est largement infiltrée par les radicaux chiites partisans de Moqtada Al-Sadr[129]. Le 14 décembre 2003, Saddam Hussein, est arrêté par l'armée américaine. 450 milliards découlant de l'affectation des budgets à la guerre plutôt qu'à des dépenses productives ou à la réduction du, 57 % d'entre eux estiment que l'administration Bush a exagéré la menace des. Le 14 février 2003, le ministre français des affaires étrangères Dominique de Villepin déclare dans un discours remarqué que « l'intervention militaire serait la pire des solutions. Cette fois, les unités irakiennes sont en deuxième échelon, elles aident à s'emparer de points critiques comme les mosquées et, surtout, à occuper les territoires conquis. Elle estime alors que le nombre de morts entre mars 2003 et août 2007 est « susceptible d'être de l'ordre de 1 033 000 », avec une fourchette de 946 000 à 1,12 million de morts[154],[155]. 185 in Diyala from June 2007 to December 2007, Hors cadres de formation et troupes de protection de l'ambassade. nécessaire], et empêchèrent ainsi cette division blindée britannique de participer à l'offensive sur Bagdad au côté des forces américaines, comme cela était très probablement initialement prévu[77] ; une fois leur mission accomplie, les forces irakiennes de Bassorah ne se rendirent pas, mais « s'évaporèrent »[réf. Les coûts budgétaires (en dollars) qu'ils identifient se décomposent ainsi : Les coûts économiques se décomposent selon les auteurs de la façon suivante : Au début de 2008, dans un livre intitulé The Three Trillion Dollar War: The True Cost of the Iraq Conflict. Rumsfeld a expliqué aux journalistes que même lorsque les inspecteurs des Nations unies étaient en Irak dans les années 1990, « la plus grande partie de ce qu'ils ont découvert était le résultat d'informations provenant de transfuges ». Plusieurs responsables ont quitté l'administration Bush (dont le secrétaire d'État. Face à cette menace, les Irakiens avaient massé à l'ouest de Bagdad onze divisions de l'armée régulière irakienne et deux divisions de la Garde républicaine[réf. Entre 1991 et 1994, les inspecteurs ont découvert quarante laboratoires secrets de recherche nucléaire ainsi que trois programmes clandestins d'enrichissement d'uranium[réf. Le 4 décembre 2017, la procureure Fatou Bensouda de la Cour pénale internationale indique qu'il existe des preuves indiquant que des soldats britanniques ont commis des crimes de guerre contre des détenus en Irak. Pendant l’Operation Iraqi Freedom qui a débuté en mars 2003, les forces de la Coalition ont systématiquement identifié, consolidé et détruit les munitions ennemies trouvées en Irak, afin d'éviter qu'elles ne soient réutilisées notamment pour la fabrication de dispositifs explosifs artisanaux (Improved Explosive Ordnance - IED). Les autorités irakiennes accusent d'abord des hauts responsables du Parti Baas en exil en Syrie, mais l'État islamique d'Irak revendique le 25 août les attentats[132]. Colin Powell confirme finalement qu'il y a peu de chances qu'il y ait eu des armes de destruction massive en Irak. Fin de la politique menée par Saddam Hussein al-Tikriti et sa famille (notamment ses deux fils, Uday et Qusay Hussein, qui occupaient des postes clés du régime). Et c'est la menace qui n'ose pas dire son nom, parce que les Européens, je vais vous le dire franchement, ne se soucient pas beaucoup de cette menace. ». Il explique que seules quelques preuves anecdotiques lient l’Irak à Al-Qaeda et précise qu’il n’y a aucune trace concrète de l’intervention de l’Irak dans la préparation ou la mise en œuvre des attaques du 11 septembre. Cependant, le terme de « guerre civile » décrit de manière correcte des éléments-clés du conflit en Irak, qui incluent un durcissement identitaire dans chaque communauté, un changement dans le phénomène des violences, une mobilisation confessionnelle et des déplacements de population. Les forces américaines sont directement responsables de la mort de 14 705 civils, dont plus de la moitié pendant l'invasion de 2003 et les batailles de Falloujah en 2004[146]. Donc nous avons recruté ce genre de personnes, nous leur avons demandé de nous aider »[45]. nécessaire], et les forces de l'armée régulière irakienne à Bassorah composé de la 6e division blindée irakienne et de la 51e division mécanisée irakienne de la Coalition. Il y a eu une totale recréation de l'armée et des forces de sécurité (Nouvelle armée irakienne, Garde Nationale, police, milices d'autodéfense…) formées et reconstituées par l'armée américaine. En voulant acquérir des armes de destruction massive, ces régimes posent un danger grave et croissant. L'ISG affirme dans son rapport que parmi les ADM recherchées, figureraient quatre-vingt tonnes de gaz moutarde qui ont disparu des entrepôts irakiens[89]. La dernière unité de combat présente en Irak, la 4e brigade de la 2e division d’infanterie, a quitté le pays la nuit du 18 au 19 août 2010 par la frontière koweïtienne. 24 août 2009 : deux minibus explosent près de Kout, dans le Sud de l'Irak (région majoritairement chiite), et font au moins 11 morts. C'est la menace contre Israël. Et le gouvernement américain ne veut pas trop s'appesantir sur elle dans son discours justificatif, parce que ce n'est pas un argument de vente populaire. Dès 2002, la grande majorité de la communauté internationale s’oppose au départ en guerre, et seule l’Angleterre de Tony Blair accepte d’épauler les États-Unis. En mai 2009, l'armée iranienne bombarde également des villages suspectés d'abriter des séparatistes du Parti pour une vie libre au Kurdistan (PJAK)[138]. Cité dans Aline Leclerc, « Le "New York Times" appelle au retrait des troupes américaines en Irak », États-Unis : Plusieurs manifestations contre la guerre d'Irak, dans, « Cinq ans après l'invasion de l'Irak : Bush ne regrette rien », dans, Lefigaro.fr avec AFP et Reuters, « Chiites et sunnites unis contre les violences », dans. À partir de 2009, les États-Unis se désengagent progressivement en finançant notamment les milices sunnites Sahwa afin d'affronter l'État islamique d'Irak. nécessaire]. À Falloujah, près de Bagdad, sept marines sont blessés par deux grenades. Il n’y a guère de contacts vers l’extérieur. Les travaux de diplômes en histoire par exemple se limitent souvent à un listage d’événements historiques. Bien que les agents de la CIA n’aient pas trouvé d’arme de destruction massive, ils restent persuadés que l’Irak en possède. Écarter une menace qui pèse sur le monde, due aux capacités qu’a Saddam Hussein à mener une guerre ; neutraliser les armes de destruction massive (biologique, chimique et nucléaire) ainsi que les missiles à longue portée et les autres armements, frapper des cibles militaires sélectionnées, rendre au Koweït des biens (œuvres d’art, matériel militaire) et des prisonniers de guerre, qui ont été dérobés lors de la première guerre du Golfe. L’Operation Iraqi Freedom marque le dernier chapitre d’une implication continue des États-Unis dans le golfe persique depuis vingt ans, avec notamment la présence continue de troupes américaines et britanniques sur le territoire irakien dans le cadre des opérations : À la demande de Saddam Hussein, le vice-Premier Ministre irakien Tarek Aziz écrit une lettre à Ramsey Clark, ancien ministre de la justice de Lyndon Johnson et opposant à la première guerre du golfe, dans laquelle il exprime ses condoléances aux familles des victimes des attentats contre le World Trade Center. L'un d'eux, cependant, tombe près du quartier général de la 1st Marine Expeditionary Force américaine, le 3 avril 2003 à 7h18 UTC[71]. toutes les interviews avec le personnel doivent être enregistrées à moins que l'officier responsable des affaires publiques permette d'y déroger ; dans les camps et bases, les journalistes doivent être escortés par les affaires publiques pour des raisons de sécurité, de sûreté et opérationnelles. Il s’agit de passagers du bus et de passants », « Croyez-moi, il n’y avait pas d’autres moyens pour instaurer la liberté en Iraq », « On savait depuis des années que la source appelée Curveball n’était absolument pas fiable », « L’idée que Colin Powell mentait ou qu’il était manipulé est absurde », « J’espère qu’un nouveau maire sera choisi pour achever le processus de reconstruction et de développement de la capitale », « Le 11 septembre a été un jeu visant à influencer les émotions de l'humanité et à trouver un prétexte pour attaquer des régions musulmanes et envahir l'Irak et l'Afghanistan en tuant un million de personnes innocentes », « complot orchestré par certains cercles au sein du pouvoir américain afin de relancer une économie déclinante, de renforcer l'emprise [des États-Unis] sur le Moyen-Orient et de sauver le régime sioniste ». Les dépressions sont accentuées par le stress psychique causé par la peur de persécution. Le réseau a été considérablement affaibli par la stratégie de contre-insurrection de l'armée américaine jouant sur la lassitude des sunnites face aux violences islamistes et leur ralliement à l'armée américaine, la montée en puissance des forces de sécurité irakiennes ainsi que de vastes opérations militaires inscrite dans la durée comme l'Opération Bashaer al-Kheir s'accompagnant d'opérations spéciales de ciblage des responsables insurgés et terroristes[122]. Cet ancien inspecteur en chef de l'ONU pour le désarmement de l'Irak a affirmé que l'Irak est désarmé et qu'après la guerre du Golfe et 11 ans de sanctions militaires et économiques, elle ne détient plus aucune arme biologique ou nucléaire. Endettement massif des États-Unis à la suite des dépenses militaires et perte de leur statut de super puissance militaire et politique aux yeux de nombreuses nations en raison de leur échec à contrôler politiquement l'Irak. M. Gozlan, « La véritable histoire de la guerre en Irak », 25 au 31 octobre 2008, les quatorze autres divisions se trouvant en dehors des zones de combat (trois à, Multi-National Forces - Iraq Combined Press Information Center. L'organisation National Priorities Project estime, au 14 juillet 2017, à 820 milliards de dollars le coût de la guerre[178] mais selon le Time Magazine, le montant s'élèvera au total à 4 000 milliards de dollars pour le contribuable américain, en incluant les soins médicaux, les indemnités pour invalidité versées pour les soldats en service actif, les vétérans et les familles ainsi que l’embauche de nouveaux soldats pour les remplacer et les coûts socio-économiques[179]. Le ministre russe affirme que la Russie pourrait utiliser son droit de veto au, La présidence regrettera plus tard la mise en scène sur le porte-avions, laissant entendre la fin de l'. La … L'Irak ne reconnaît pas les deux zones d'exclusion aériennes imposées en 1991 par Washington et Londres dans le nord et le sud du pays car elles n'ont pas fait l'objet d'une résolution de l'ONU. Seconde bataille de Falloujah « Phantom Fury » Operation Phantom Fury. Rendant ses conclusions en septembre 2004, l'Iraq Survey Group a déterminé avec une quasi certitude qu'aucune arme chimique n'avait été découverte ou détruite[81]. L'armée turque en lutte contre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a déclenché plusieurs offensives contre ce mouvement à l'intérieur du Kurdistan irakien depuis 1984, notamment en février 2008[134]. Attentat le plus meurtrier en Irak depuis 18 mois. concernant les prisonniers et les détenus, les journalistes ne peuvent diffuser aucune vidéo ou image permettant de les reconnaître ou de les identifier, ou qui susciteraient la curiosité publique ou les dénigrerait aux yeux du public. À partir de la mi-2009, les forces américaines ne patrouilleront plus dans les rues[116]. Et c'est la menace qui n'ose pas dire son nom, parce que les Européens, je vais vous le dire franchement, ne se soucient pas beaucoup de cette menace. La France, la Russie et la Chine, trois membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, menacent d'utiliser leur droit de veto pour empêcher que l'ONU n'approuve l'intervention armée contre l'Irak. Le même magazine raids, dans son numéro de janvier 2008, aborde la question des conséquences psychiques et psychologiques de ces engagements sur les soldats concernés et notamment les réservistes. Le 26 avril, la loi est définitivement adoptée par le sénat américain pour un retrait des troupes à partir du mois d'octobre en contrepartie d'une rallonge budgétaire de 124 milliards de dollars[192]. Le bilan annuel -officiel- pour la coalition se décompose ainsi : Pertes matérielles Le sondage indique également que 55 % des Américains ne croient plus à la victoire en Irak (contre 36 % qui y croient et 9 % qui ne se prononcent pas). Après seulement 19 jours de déplacement et au prix de quelques combats (depuis le départ du Koweït), l'armée américaine a bousculé facilement au sud et à l'est de Bagdad des unités de la Garde républicaine[réf. Plus d'un Américain sur deux pense que George W. Bush a « intentionnellement trompé » l'opinion américaine sur les raisons d'engager cette guerre. Des médias rapportent que, dans cette allocution, Zelikow a dit que l'Irak ne menace pas véritablement les États-Unis mais Israël, et que la véritable menace est passée sous silence par le gouvernement américain parce qu'elle ne se vend pas bien au public. Par respect pour les familles, les noms ou les images permettant d'identifier clairement les individus tués en action ne peuvent pas être diffusés. Ce groupe d'experts était chargé de détruire tous les agents chimiques déclarés par l'Irak, les munitions remplies et les matières premières (précurseurs chimiques) de l'ancien programme d'armes chimiques. Le premier ministre Nouri al-Maliki limoge à la suite de ces attaques près de 12 000 fonctionnaires de l’Intérieur et de la Défense, soupçonnés d’accointances avec les réseaux baasistes[133]. Les rapports font état d’une bonne entente entre Al-Qaeda et l’Irak, mais aucun ne laisse paraître la preuve d’une collaboration entre eux pour s’attaquer aux intérêts américains[38]. "We all just basically went and dug out a path through the berm, to allow all of the vehicles that were going to be a part of the initial invasion to slip over the berm and do it covertly, without a lot of noise, « la guerre contre le terrorisme n’est pas terminée », « l’émergence d’une cour spéciale dans le cadre du système irakien », « campagne de désinformation qui vise à ternir l’image de la France », « débarrasser ce pays (...) des baassistes et des saddamistes », « postes de décisions ou de responsabilités », « la capture des partisans de l’ancien régime de Saddam Hussein », « Nous avons sacrifié le pouvoir, mais nous refusons de sacrifier nos principes, notre foi et notre honneur », « George W. Bush n’aurait pas du affirmer, dans son discours sur l’état de l’Union de janvier dernier, que l’Irak avait tenté de se procurer en Afrique de l’uranium pour son programme nucléaire militaire », « l’homme politique le plus juste que nous ayons jamais eu », « Les forces de sécurité irakiennes sont responsables de violations systématiques des droits des détenus, et ce […] en toute impunité », « sans garantie de leur part concernant la torture et les mauvais traitements », « Retirer les mines est difficile, car nous ne possédons pas de cartes des zones contaminées », « C’est pourquoi nous requérons l’aide des pays donateurs et l’expérience de la communauté internationale », « Les États-Unis sont appelés à ouvrir une enquête sérieuse et en toute transparence sur les informations contenues dans ces documents publiés sur des crimes contre l’humanité », « La cour suprême enjoint au parlement de tenir des réunions régulières et d'accomplir son travail normal.